Je ne connais pas Diego. Je connais sa peinture. Des visages froissés aux regards profonds, blanchis de larmes de sable, poussière ou peintures ancestrales, d'une main vite égratignés.
Je ne connais pas Diego, je ressens les corps, mouvants et émouvants, les senteurs, les fulgurances lentes et riches d'un continent chargé d'incertitudes.